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Gallet Bailly Sylvestre

France

Gallet Bailly Sylvestre, alias Bailly Spinto est un chanteur ivoirien.


Plus de utilisateur: miba
Creer: 7th May 2008
Modifier: 14th Jul 2008
Professional Information
Professional Areas:
Music
Working primarily in:
World

Description of Work:
Bailly Spinto est devenu musicien certainement par cette culture religieuse qu'il avait eu à St Jean Bosco (établissement catholique d’Abidjan, ndlr ). Les religieux les ont orientés dans des groupes comme les Cœurs Vaillants où le chant était au centre des activités. Il a été très influencé par James Brown, Otis Redding, Tom Jones, Elton John et les Beattles. Quand il avait dix ans, Baily Spinto avait gagné le premier prix de la radio nationale lors d’un concours consacré aux jeunes chanteurs. Plus tard, il a fait partie du groupe Les Wampuces puis ça a été au tour du New System Pop de l’accueillir. C’est avec ce groupe qu'il a fait le tour du monde par le biais du Club Med. Le groupe s’est d’ailleurs disloqué en Europe. Chacun est parti de son côté. Bailey Spinto a été le dernier à produire un album. Les maisons de production trouvaient qu'il n’était pas au point alors qu'il avait déjà 10 ans de carrière derrière lui. Il a également pris des cours de piano, à Paris, chez Paul Becher. Baily Spinto joue aussi de la guitare. En somme, il est un chanteur- musicien. La culture Bété lui apporte son originalité. Baily Spinto chante en bété et la chanson bété est marquée par l’oralité. On peut continuer à chanter sans musique ou utiliser la musique pour la mettre en valeur. Cependant sa musique ne s’enferme pas, c’est une musique d’ouverture qui navigue entre le chant traditionnel bété et l’opéra.
Biographical Information
Gallet Bailly Sylvestre
(At a Glance)
: male
Interests: Art, Music, Culture
Place of Origin: Cote d'Ivoire
L’interprète de Taxi sougnon, un slow langoureux, ne saurait vous laisser insensible tant sa voix, au timbre exceptionnel vous transporte. Gallet Bailly Sylvestre, alias Bailly Spinto, a ainsi, dés le début des années 80, marqué au fer rouge la scène musicale ivoirienne. Cinq ans plus tard, il tombe en disgrâce pour avoir voulu donner naissance à un nouveau style musical, le Gbégbé Rock. Un concept que la presse spécialisée de l’époque trouve malheureux et que le public ivoirien n’apprécie pas. Dés lors, le musicien sera boudé jusqu’en 1996 où il recommence à faire l’unanimité alors que ses véritables fans ne lui font jamais défaut. Il faut tenir, c’est le titre de son nouvel album. L’heure d’un nouveau départ pour une carrière résolument internationale.


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