Home  | 

Stephanie Mbida

Adolescente surdouée et activiste basée à New York


Plus de utilisateur: pbiloa70
Creer: 9th Dec 2010
Modifier: 14th Mar 2011
Professional Information

Biographical Information
Stephanie Mbida
(At a Glance)
Date of Birth: Dec/4/1996
: female
Place of Origin: United States

Stéphanie Mbida est une adolescente surdouée et activiste vivant à New York. Elle veut à travers son propre exemple inspirer et motiver les jeunes du monde entier à poursuivre l'excellence dans tout ce qu'ils entreprennent et à prendre conscience du fait qu'ils peuvent contribuer largement à la solution des plus grands problèmes de ce monde.

Elle a passé son premier examen d’entrée à l’université à l’age de 11 ans.

A 10 ans, elle avait déjà rencontré le Président de la Banque Mondiale et en 2009, à  l'age de 12 ans, elle a conseillé 25 présidents et chefs de gouvernement des pays les plus industrialisés ainsi que 103 PDG des plus grandes compagnies du monde, 41 chanceliers des universités les plus prestigieuses telles que Yale, la Sorbonne, Oxford, ou encore Harvard et 16 ministres de l'éducation sur la crise économique mondiale. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle a récemment fait un interview pour le magazine Intégration, dans l'espoir que son histoire amènera des millions d'autres jeunes à travers le monde  à constamment dépasser leurs limites et à  tirer le meilleur des ressources et moyens qu'ils ont à  leur disposition pour améliorer leur situation personnelle et faire progresser leur communauté à grands pas. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Accomplishments
Other Accomplishments:

STEPHANIE : « A l’âge de 6 ans, je lisais, résumais et analysais déjà des essais philosophiques des auteurs comme Voltaire, Thoreau, Emerson et d’autres livres très avancés en mathématiques et en sciences » PDF Print E-mail
Written by Célestin Ngoa Balla   
Wednesday, 01 December 2010 15:12
There are no translations available.

Stéphanie Mbida Adolescente surdouée d’origine camerounaise établie aux Etats- Unis d’Amérique avec ses parents, elle propose des solutions choc pour sortir les pays de la crise économique et conséquemment l’humanité de la misère et la pauvreté.

Stephanie MBIDA avec le President de la Banque Mondiale, M. Paul Wolfowitz en juin 2007

Qui est Stéphanie Mbida ?
J’ai 13 ans. J’ai passé mon premier examen d’entrée à l’université (SAT II US History) à l’âge de 11 ans avec un score presque parfait de 780 points sur un total maximum de 800, surpassant de loin 96% de tous les candidats aux Etats-Unis qui avaient en moyenne l’âge de 17 ans. Ce résultat m’a d’ailleurs valu les félicitations des présidents Bush et Clinton. J’ai entre temps passé deux autres examens avec des résultats comparables à l’âge de 12 ans. Je comptais conclure mes études secondaires cette année ou l’année prochaine au plus tard. Cependant, j’ai pris, avec l’accord de mes parents bien entendu, une année sabbatique en 2010 pour adresser le problème de la crise économique mondiale auprès des plus grands dirigeants de ce monde et ainsi contribuer à alléger les souffrances de centaines de millions de personnes à travers le monde.

 J’ai été invitée au début de cette année dans 5 pays différents (Etats-Unis, France, Angleterre, Allemagne, Irlande) par les chanceliers de 10 des universités les plus prestigieuses et sélectives du monde à aller étudier dans leur établissement: l’université de Cambridge en Angleterre, l’université de Dublin, la Sorbonne à Paris, l’université technique de Munich, Columbia University à New York, l’université de Boston, l’université de North Carolina Chapel Hill, Georgia Tech, l’université de Wisconsin-Madison et la Northwestern University.

Vous écrivez actuellement un livre ?
Je suis effectivement en train d’écrire un livre sur mon parcours jusqu’ici, sur les conseils particuliers que j’ai offerts aux leaders de ce monde, ainsi que sur la formation qui m’a permis de développer la capacité de voir les problèmes de ce monde, et particulièrement la crise économique mondiale, sous un angle très unique. J’espère qu’en lisant mon histoire, beaucoup de jeunes gens de tous les coins de la planète seront motivés à participer activement au progrès et à l’essor de leur communauté et découvriront l’énorme potentiel qu’ils ont de faire la différence dans le monde.

Parmi les grands qui ont bénéficié de vos conseils particuliers, il y aurait Bill Clinton ?
J’ai écrit au président Bill Clinton sur les voies et moyens que je voulais utiliser pour aider des millions de personnes démunies, défavorisées et sans défense, sur la base de ma capacité d’apprendre de manière accélérée à l’école et d’assimiler des concepts très complexes avec aisance. Le travail extraordinaire qu’il effectue dans le domaine de l’humanitaire m’a toujours inspiré.

Plusieurs personnes, au vu de votre âge, se prendraient à douter que vous soyez le véritable auteur de cette lettre?
J’en suis tout à fait consciente. D’ailleurs, ce scepticisme était particulièrement prononcé jusqu'à ce que je passe mon premier examen d’entrée à l’université à l’âge de 11 ans. En plus de mon talent naturel, je travaille extrêmement dur à accumuler les compétences nécessaires pour atteindre mes objectifs. Ceci m’amène à réaliser très régulièrement des choses qui peuvent être qualifiées d’extraordinaires à un très jeune âge. Mes parents investissent également une grande quantité d’énergie, de temps et d’argent à ma formation intellectuelle et émotionnelle. A l’âge de 6 ans, je lisais, résumais et analysais déjà des essais philosophiques des auteurs comme Voltaire, Thoreau, Emerson et d’autres livres très avancés en mathématiques et en sciences. Ma mère, convaincue que l’école ne pourrait pas me donner une formation assez exigeante qui correspond à mes capacités intellectuelles, a quitté son travail pour m’enseigner elle-même à la maison. Ma mère a une maîtrise en traduction, parle couramment le français, l’anglais, l’allemand et l’italien et était une des étudiantes les plus brillantes de son université. Elle a donc sacrifié une carrière pleine de potentiel et une immense source de revenus, persuadée que si ma formation est complète, le bien que je ferais à l’humanité rendrait toute sa valeur à ses sacrifices.

Quelle fut votre réaction en recevant la lettre signée de la main de Bill Clinton?
Les mots me manquent encore aujourd’hui pour décrire ce que j’ai ressenti. Jusqu'à présent, j’ai du mal à croire qu’une personnalité de son calibre a pris le temps d’écrire à la petite fille de huit ans que j’étais. C’est un immense honneur pour moi qu’il m’ait accordé autant d’importance, et je lui dois une dette considérable pour la grandeur d’âme et d’esprit dont il a fait preuve en mon égard. Voila un monsieur qui traite en longueur de journée avec les personnes les plus influentes de la planète et qui, par respect pour mes idées et mes réalisations, a malgré tout trouvé le temps de m’écrire trois lettres en personne au cours des cinq dernières années.

Vous avez par la suite écrit tour à tour au président George W Bush et au président Barack Obama?
J’ai écrit au président Bush deux fois pour lui donner des conseils sur l’amélioration du système éducatif aux Etats-Unis. Il a personnellement répondu à chacune de mes lettres. Quant au Président Obama, je lui ai présenté ma perspective qu’aucun expert ne semblait avoir perçue jusque- là sur l’origine profonde de la crise économique mondiale et lui ai offert des suggestions par rapport à la manière de mettre cette perspective en pratique pour le bien du monde entier. Le président Obama a énormément apprécié mes idées et m’a promis qu’il ferait de son mieux pour les appliquer.

A 12 ans, vous aviez déjà réussi à échanger des correspondances avec 25 présidents et chefs de gouvernements parmi les plus puissants en Europe, Amérique et Océanie. Et tous vous ont remercié pour vos conseils très avisés tout en saluant votre brillante vision et maîtrise des questions de la finance internationale. Est-ce que ceci ne vous met pas sous une certaine pression?
Si, parce que je me sens l’obligation de réaliser toutes ces grandes choses qu’ils attendent de moi. La plupart m’ont écrit qu’ils comptent sur moi pour changer le monde et demeurer à la tête du peloton des penseurs de ma génération. J’espère qu’en continuant d’aider des millions de personnes, je parviendrai à relever ce défi. Je dois dire cependant que, plus qu’une source de pression, c’est plutôt un immense privilège pour moi que tant de présidents et autres leaders voient en moi une personne aussi spéciale.

Vous ne vous êtes pas limitée aux dirigeants d’Etats. Pas moins de 103 firmes les plus grandes au monde, à côté de 41 patrons d’universités de renommée mondiale vous remercient aujourd’hui pour vos conseils. Comment vous faites pour avoir un carnet d’adresses si étoffé?
Je recherche les adresses sur l’Internet. Cependant, à mon avis, c’est l’aspect le moins complexe du processus. Ce qui compte le plus, c’est d’avoir un message unique et très pertinent, parce que ces dirigeants sont les personnes les plus sophistiquées et brillantes du monde. Leurs conseillers et collaborateurs sont également parmi les personnes les plus compétentes du monde. Par conséquent, mes lettres doivent refléter un degré très élevé de sophistication au niveau de la pensée. Je dois quasiment leur apporter une perspective et des solutions auxquelles ni eux-mêmes, ni leur équipe n’ont jamais pensées jusqu’alors, et ce n’est certainement pas une tâche facile.

En 2007, Paul Wolfowitz, le président de la Banque Mondiale, vous recevait dans ses bureaux à Washington. Quel souvenir de cette rencontre?
C’était une expérience chaleureuse et inoubliable, un des événements les plus marquants de ma vie. M. Wolfowitz m’a conféré l’honneur inestimable de m’accorder une entrevue entre deux meetings extrêmement importants, alors que je n’avais que 10 ans, en signe d’appréciation pour les conseils que je lui ai donnés sur la réduction de la pauvreté de masse et ses corollaires. Je lui en serai éternellement reconnaissante.

Vos parents sont d’origine camerounaise. Des lors, on s’étonne que vous n’ayez jamais reçu de lettre d’aucun chef d’Etat ou de gouvernement africain. Peut-être ne leur avez-vous jamais écrit? Si jamais vous leur avez écrit, quels sujets vous avez abordé?
J’ai écrit à plusieurs chefs d’états africains, malheureusement sans grand succès, sur les sujets de l’éducation et de la crise économique.

Frustrant?
Quelque peu, étant donné que mes idées ont été prises en considération par des personnalités telles que le Pape Benoît XVI, la Reine Elizabeth II d’Angleterre, les trois derniers présidents des Etats - Unis, le président de la France, la chancelière allemande, le Premier ministre australien, et tant d’autres.

En ce moment, mes idées sont débattues et mises en application dans plusieurs présidences, ministères, multinationales, et universités de grande renommée dans les pays les plus développés du monde. Je pense que l’Afrique et les autres régions du monde en voie de développement bénéficieraient davantage de mes idées et solutions. J’espère qu’un jour, mes idées et stratégies susciteront le même intérêt dans cette partie du monde.

Propos recueillis par Célestin Ngoa Balla à New York

Last Updated on Wednesday, 01 December 2010 15:24

 

 

 

 


 




More Repertoire

United States
Education, Congo-Brazzaville, United States
Senegal, United States
Gabon, United States, Music
United States, Senegal, Occupations